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Da Vinci Code

Article posté par Johndizro

Ce qui suit vaut son pesant de cacahuètes.
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Da Vinci Code, quête du Graal
par Christophe BORMANS

L’histoire du best-seller américain le Da Vinci Code, roman policier publié par Dan Brown en 2003, est très simple : tout commence par l’assassinat d’un homme, Jacques Saunière - Conservateur du Musée du Louvre à Paris - qui a le temps, après avoir été assassiné à son bureau (mais avant de mourir), de révéler, sous une forme codée, le motif de son propre assassinat.
Une femme et un homme, en l’occurrence Sophie Neveu (la petite fille de Jacques Saunière) et Robert Langdon, professeur de symbolique religieuse à l’Université de Harvard - tous les deux prévenus par Jacques Saunière lui-même sentant l’imminence du danger qui le guettait -, arrivent sur les lieux du crime avant la police, et à ce titre, vont être immédiatement accusés par elle et poursuivis tout au long du roman, sorte de course poursuite.
Dans cette course, ils n’auront de cesse de découvrir le mobile du crime, non seulement afin de se disculper, mais aussi et surtout, parce que le jeu de piste laissé derrière lui par Jacques Saunière, semble en valoir la chandelle, puisque le mobile du crime n’est autre que : le mystère du Saint-Graal.
C’est au chapitre 55 du roman, que le puzzle va commencer à se mettre en place, pour les deux personnages principaux, et que l’auteur du livre - Dan Brown - va nous expliquer sa version de la légende du Graal, intimement liée à celle du Nouveau testament.

Le Nouveau Testament et l’Empereur Constantin
Reprenant la phrase du Docteur Martyn Percy, docteur en droit canon, Dan Brown nous explique en effet que « La Bible n’a pas été transmise par fax céleste. »
Comme nous l’avons, nous, découvert avec Freud (et ses apôtres pourrait-on dire, notamment Karl Abraham), la Bible a été écrit par différents auteurs, à différentes périodes de l’histoire, et a finalement subie au cours des temps, de très grosses distorsions au travers de ses différentes traductions, additions et révisions.
Cependant, le Nouveau Testament tel que nous la connaissons aujourd’hui, a été disons standardisée par un païen, l’empereur Constantin le Grand.
Comme le précise Dan Brown, « plus de quatre-vingts évangiles auraient pu figurer dans le Nouveau Testament, mais seulement quatre d’entre eux ont été retenus - ceux de Matthieu, de Marc, de Luc et de Jean. »
Qui était l’Empereur Constantin ? C’est un Empereur - né entre 280-288, et mort en 327 - qui « a passé toute sa vie dans le paganisme », et qui n’aura été baptisé qu’à la toute fin de sa vie. « Pendant son règne, nous dit Dan Brown, la religion officielle de Rome était le culte du Soleil invincible - Sol invictus », et l’Empereur en était lui-même le « grand prêtre ».
Nous sommes donc déjà à la fin du IIIe siècle et, depuis la crucifixion du Christ, les chrétiens d’un coté, qui sont en pleine expansion, et les Païens de l’autre, s’affrontent sans discontinué. Au début du IVe siècle, cependant, le conflit avait pris de telles proportions qu’il en était devenu une menace pour l’Empire. En « homme d’affaire avisé », selon l’expression de Dan Brown, Constantin décide alors de miser sur ce qu’il croit être le « meilleur cheval » : le Christianisme ; et en 325, par un exceptionnel tour de force, Constantin unifie Rome en imposant une seule et unique religion : c’est le fameux concile de Nicée.
Le tour de force, c’est que « par une astucieuse fusion des dates, des rituels et des symboles païens dans la tradition chrétienne en formation, il a réussi à créer une religion hybride, assimilable par tous ses sujets. » C’est là ce qu’on appelle aujourd’hui le Christianisme.
Ainsi, Dan Brown peut-il nous énumérer les reste des vestiges païens au sein de la nouvelle symbolique chrétienne :
« Le disque solaire du dieu égyptien est devenu auréole des saints, le pictogramme d’Isis allaitant son nouveau-né Horus a servi de base aux images de la Vierge et de l’Enfant Jésus. Une majorité des éléments du rituel catholique, comme la mitre, l’autel de la doxologie et l’eucharistie - le fait de manger le corps de Dieu -, tout cela vient en droite ligne des religions païennes de l’Antiquité. (...) Il n’y avait pas grand-chose de purement chrétien dans la nouvelle religion proclamée par Constantin, nous dit Dan Brown. Le dieu Mithra - [« Dieu solaire de l’ancien Iran, dont le culte se répandit dans le monde hellénistique, puis romain », nous précise le traducteur du roman] - était depuis longtemps appelé Fils de Dieu et Lumière du Monde. On célébrait sa naissance le 25 décembre, qui était aussi la fête anniversaire d’Osiris, d’Adonis et de Dionysos. Il a été enterré dans une caverne rocheuse, et il est ressuscité trois jours plus tard. Le nouveau-né Krishna a reçu en cadeau de l’or, de l’encens et de la myrrhe. Même le jour saint hebdomadaire a été calqué sur celui des païens. (...) À l’origine (...) les chrétiens honoraient le sabbat juif le samedi. C’est Constantin qui l’a déplacé pour le faire coïncider avec la célébration du dieu Mithra. Aujourd’hui - nous dit Dan Brown -, la plupart des chrétiens assistent au service dominical, sans savoir qu’ils célèbrent la fête du dieu Soleil ».

Le « coup de pouce » à la « divinité de Jésus »
Si aucun historien n’a jamais nié l’existence de Jésus, il reste qu’il semblait être avant tout considéré - jusqu’au fameux concile de Nicée - comme un prophète, et à ce titre - et à l’instar de Socrate - : comme un mortel.
Mais afin d’intimider les païens récalcitrants, tout en signifiant aux chrétiens qu’ils n’obtiendraient leur salut que par l’obédience à la nouvelle Église catholique romaine, le concile de Nicée a donné en quelque sorte un « coup de pouce divin », selon l’expression de Dan Brown, au nouveau statut de Jésus, et ce, pas moins de trois siècles après sa mort (c’est, en quelque sort, une seconde résurrection).
Le concile de Nicée a donc forgé et imposé un « Jésus divin » transcendant la réalité du monde humain, afin que sa puissance ne soit plus discutable.
Mais pour cela, il a fallut exclure de la rédaction du Nouveau Testament, tous les textes qui racontaient la vie de simple mortel de Jésus, et, au contraire, privilégier - en les adaptant au besoin -, ceux qui le faisaient apparaître comme divin.
Mais depuis, nous avons, nous scientifiques, découvert certains de ces évangiles apocryphes, qui ont néanmoins survécu. Ce sont, par exemple, les parchemins coptes d’Hag Hammadi, découvert en 1945, ou les fameux « Manuscrits de la mer Morte », découverts en 1947 dans une grotte de Qumram (désert de Judée).
Or, tous ces textes, outre de dépeindre Jésus en simple mortel, nous mettent sur la piste du mobile qui nous préoccupe ici : la « véritable nature du Saint-Graal ». De quoi s’agit-il ?

Le Saint-Graal révélé par la Cène de Léonard de Vinci
Hé bien, selon Dan Brown, Léonard de Vinci était au parfum ! C’est-à-dire qu’il connaissait le secret du Saint-Graal : il en aurait laissé des indices dans ses oeuvres, allant même jusqu’à le peindre - peindre le Saint-Graal -, et précisément dans la Cène.
La Cène, c’est, vous le savez, la fresque peinte par Leonardo De Vinci pour l’église Santa Maria delle Grazie (Sainte-Marie-des-Grâces) à Milan : elle est considéré comme son véritable chef-d’oeuvre. Elle a été commandée par Ludovic le More pour le réfectoire de l’église. C’est une peinture murale de 4,60 m de haut sur 8,85 m de large, exécutée entre 1495 et 1497. Elle représente, on le sait, le dernier repas de Jésus avec ses disciples, au moment précis où il leur annonce qu’un des leurs l’a trahi.
Mais où est le Saint-Graal ? Je vous rappelle les événements, la scène, elle se situe au moment de la fête de Pâque (la dernière Pâque), un soir, dans une maison de ville pas très loin de Jérusalem. Je vous renvoie ici au premier Épître de Paul au Corinthiens, Chapitre 11. Juste après, Jésus avertira Pierre de son reniement. Mais si l’on s’en tient à cette Cène, et si l’on s’en réfère uniquement à Paul : « Après le repas, il prit la coupe, en disant : "Cette coupe est la nouvelle Alliance en mon sang ; chaque fois que vous en boirez, faites-le en mémoire de moi." » (Paul, Premier Épître aux Corinthiens, Chapitre 11, verset 25).
Or où est cette coupe, ce calice, ce Graal, justement, dans la Cène peinte par Léonard ? Tous les apôtres, Jésus compris, ont devant eux un petit verre rempli de vin. Donc treize en tout : il n’y a donc pas de calice, pas de Saint-Graal.
Or, si « tout le dogme établi par la Bible (...) évoque unanimement le calice dans lequel le Christ avait transformé le vin en son propre sang », demande Dan Brown, comment se fait-il que Léonard De Vinci ne l’ait justement pas représenté ?
Mais il y a encore plus troublant ; car, nous dit l’auteur, la fresque de la Cène est « la clé de tout le mystère du Graal », et Léonard de Vinci la fait clairement apparaître, seulement... - et je vous révèle ici le secret - : « Le Graal n’est pas une chose... c’est une personne... C’est même une femme ».

Le Graal
Le Graal du Nouveau Testament, est donc une femme, et « une femme, nous dit Dan Brown, détentrice d’un secret tellement grave que sa révélation menaçait de détruire les fondements de la chrétienté. »
Et c’est de cette femme, justement, que Léonard de Vinci a fait le portrait dans la Cène, où il lui réserve la place d’honneur, à la droite du Seigneur. Qu’observe-t-on en effet à cette place ?
De longs cheveux roux, des petites mains fines modestement posées sur la table, comme une « poitrine légèrement arrondie », une « courbe gracieuse du cou », une « expression retenue... » Elle semble jeune, avoir l’air « sage et modeste »... Cela ressemble en tous points à l’image d’une femme ! Et j’espère qu’à vous, elle n’est pas sans vous rappeler le visage et, disons la posture - inversée - de la Sainte Thérèse du Bernin.
Pourquoi ne pas l’avoir remarqué plus tôt ?
Il y a une première explication qui est d’ordre technique. Je ne vous raconte pas l’histoire de la fresque, mais je prie de vous référez à un texte de Gœthe, « La Cène de Léonard de Vinci », lequel relate toutes les péripéties (et intempéries) par lesquelles est passée cette fresque, qui a été peinte à la détrempe (al fresco, comme le précise Freud) sur un fond de plâtre sec, lequel commença très vite à se détériorer, et ce dès après que Léonard de Vinci l’eut réalisée.
De sorte que lorsque vous aurez lu le texte de Gœthe en question - bien sur je n’ai pas choisi cet auteur au hasard -, la véritable question, à vrai dire, que nous devrons nous poser, c’est : comment se fait-il, qu’après tous ces avatars subies par la fresque, l’on ait encore la chance de pouvoir l’observer.
Et encore, Gœthe a écrit son texte à la fin du XIXe siècle, autrement dit, avant que sa grande restauration de 1954, ait été achevée. Au cours de cette dernière restauration, on a dû retirer, millimètre par millimètre, les couches de crasse et de peinture surajoutée, notamment au XVIIIe siècle, par des mains parfois maladroites, afin de rendre à nouveau visible l’œuvre de Léonard De Vinci telle qu’on peut penser qu’il l’avait conçue et réalisée. Or, la plupart des reproductions de la Cène datant d’avant cette restauration, vous comprendrez qu’il était difficile jusqu’à peu de temps, d’y lire véritablement le tableau.
Mais il y a une seconde explication qui nous concerne de plus près - je vous renvoie au Séminaire X de Lacan et surtout au texte de Freud sur le fétichisme. Je cite Dan Brown :
« La notion préconçue que l’on a du tableau l’emporte sur nos capacités d’observation et empêche notre cerveau de remarquer ce qui ne cadre pas avec elle. C’est un phénomène visuel, précise Dan Brown, qu’on appelle scotome (...), une sorte de “lacune” dans le champ visuel. »
Alors, bien entendu, cette femme, au centre de la Cène, à la droite du Christ, que l’on « scotomiserait », vous l’aurez compris, c’est Marie Madeleine, laquelle n’était pas une prostituée, mais tout simplement la compagne de Jésus.

Marie Madeleine
Car de même que Rome voulait convaincre ses sujets que Jésus le prophète était un être divin, de même le Concile de Nicée a rejeté du Nouveau Testament tous les récits de sa vie évoquant la véritable identité de Marie-Madeleine. Et « il y avait un thème récurrent dans tous les évangiles », semble-t-il, c’est celui selon lequel Marie Madeleine était bien la compagne de Jésus.
D’ailleurs, notons avec Dan Brown, la stricte correspondance des vêtements de Jésus et de Marie Madeleine dans la Cène peinte par Léonard de Vinci : « robe rouge et cape bleue pour Jésus - robe bleue et cape rouge pour Marie Madeleine. »
D’un point de vue historique, un grand nombre d’historiens - sur lesquels s’est appuyé Dan Brown -, sont d’accords pour soutenir la thèse de « Marie Madeleine-compagne de Jésus ». Je cite Dan Brown :
« Un Jésus marié est beaucoup plus vraisemblable qu’un Jésus célibataire. (...) Parce qu’il était juif, (...) et que la société juive de son époque proscrivait, dans les faits, le célibat ». Le célibat était, en effet, condamné par la coutume et « tout père juif se devait de trouver une femme qui convienne à son fils. Si Jésus n’avait pas été marié, on en trouverait mention au moins dans l’un des quatre Évangiles, accompagnée d’une explication de son statut si peu conventionnel. »
Dans l’évangile Gnostiques (« du grec gnostykos “qui sait”, nous précise le traducteur du roman), et notamment dans celui de Philippe, retrouvé dans des papyrus coptes de Nag Hammadi et des manuscrits araméens de la mer Morte, on peut en effet lire :
« Et le Sauveur avait pour compagne Marie Madeleine. Elle était la préférée du Christ, qui l’embrassait souvent sur la bouche. Les autres apôtres en étaient offensés et ils exprimaient souvent leur désaccord. Ils disaient à Jésus : "Pourquoi l’aimes-tu plus que nous ?" » .
Or, en araméen, le mot « compagne », signifierait, justement, épouse.
Pire : on trouve également, dans ces Manuscrits, une évangile selon Marie Madeleine, c’est un apocryphe copte qui date du second siècle :
« Alors Pierre dit : “Est-il possible que le maître se soit entretenu ainsi avec une femme sur des secrets que nous, nous ignorons ? Devons-nous changer nos habitudes, et tous écouter cette femme ? L’a-t-il vraiment choisie et préférée à nous ?”... Et Lévi répondit : “Pierre, tu as toujours été un emporté. Je te vois maintenant acharné contre la femme, comme le sont nos adversaires. Pourtant, si le Maître l’a agréée, qui es-tu pour la rejeter ? Assurément le Maître la connaît très bien. il l’a aimée plus que nous”. » .
La femme dont parle ici Pierre est Marie Madeleine, dont Pierre était manifestement jaloux, et selon Dan Brown, « les enjeux dépassaient de loin la question affective », puisqu’il semble que ce soit à Marie Madeleine, que Jésus souhaitait confier le soin de conduire son Église après sa mort.
J’ai dit tout à l’heure, « Marie Madeleine, dont Pierre était manifestement jaloux », car chose étrange, cette jalousie de Pierre envers Marie Madeleine, est parfaitement bien représentée dans la Cène de Léonard de Vinci. De fait, il tend une main menaçante sous le cou de ce personnage assis à la droite du Christ...
S’il ne s’agissait pas de Marie Madeleine, pourquoi Léonard De Vinci aurait-il dépeint ainsi un Pierre aussi agressif ? Ce qui confirme la thèse de l’Évangile Copte : Pierre semble furieux d’apprendre qu’il va devoir jouer les seconds rôles, qu’il va devoir se soumettre... au féminin !
Du reste, la castration en surgit d’une manière d’autant plus surprenante : puisqu’une main surgit, qui tend un poignard ! À qui appartient-elle ? Si l’on compte les bras, paraît-il, elle ne semble appartenir personne...

Métonymie et révélation de l’énigme
Qui était Marie Madeleine ? En « réalité », Marie Madeleine appartenait, paraît-il, à la tribu de Benjamin : elle devait être par conséquent elle aussi de descendance royale, tout comme Jésus qui, lui, appartenait à la maison de David, descendant de Salomon, roi des Juifs. De sorte que :
« Le mariage de Jésus avec une héritière de la puissante maison de Benjamin réunissait deux lignées de sang royal. Ce qui en faisait une sérieuse menace de restauration de la dynastie royale, avec le pouvoir qui était le sien du temps de Salomon. » .
Dès lors, l’énigme que donne à entendre Dan Brown devient évidente : lorsqu’on parle légende du Calice, lorsque l’on parle du « Calice qui contient le sang du Christ », c’est pour évoquer Marie Madeleine, laquelle portait en elle la lignée royale de Jésus. Le Calice, c’est le vase sacré - Marie Madeleine -, dépositaire de la lignée puisque porteuse du fruit d’une union royale.
Pourquoi parler de Saint-Graal ? Le processus ici à l’œuvre, nous est familier - il s’agit d’une métonymie :
« Le mot Sangréal est dérivé de San Greal ou Saint-Graal. Mais, sous sa forme la plus ancienne, le mot était coupé d’une autre façon. (...) Sang Real (...) Sang réal signifiait Sang royal. (...) San gréal... Sang real... San Greal... Sang royal... Saint-Graal. » .
On a donc la séquence suivante :
Sang real (sang royal ou réel) - San Greal (déplacement de la lettre : G) - Saint-Graal (refoulement du e et redoublement du a).
Le « Saint-Graal », c’est donc, pour nous, le « Sang réel ».
C’est donc pour asseoir son pouvoir et se déclarer « seule et unique voie de la rédemption et de la vie éternelle », que Rome a du propager l’image de prostituée de Marie Madeleine, et dissimuler toutes preuves de son union avec Jésus.
La légende raconte d’ailleurs, que Marie Madeleine, enceinte lorsque Jésus a été crucifié, aurait été contrainte de fuir la Terre sainte - avec l’aide de Joseph d’Anmathie -, afin de protéger sa descendance. Elle serait partie clandestinement en France (Gaule), où elle aurait trouvé refuge auprès d’une communauté juive, et là, aurait mis au monde une fille, du nom de Sarah.
La légende veut également, que la descendance de Jésus perpétuée en France, se serait enrichie, au Ve siècle, en se mêlant avec un autre sang royal, pour créer la lignée mérovingienne (je ne vais pas développer cela ce soir, je vous renvoie aux textes et ouvrages d’historiens qui abondent dans ce sens).

Langue des oiseaux
Alors vous allez me dire : comment ça se fait qu’on n’en sait rien de tout Ça ? Ou, inversement, comment est-ce qu’on le sait ?
L’histoire du Saint-Graal a en fait été criée sur tous les toits pendant des siècles, mais sous forme de métaphores et de symboles. Et c’est là que nous allons en revenir à la langue des oiseaux (peut-être pas tout à fait ce soir, mais la prochaine fois). Dans l’art et les légendes.
Dans la peinture, la Cène de Léonard de Vinci en est peut-être le plus parfait exemple. Mais, paraît-il, Botticelli, Poussin, et le Bernin y sont également allés de leurs représentation. Je ne citerai ici que le tableau de Poussin : Les Bergers d’Arcadie, exposé lui-aussi au Louvre.
Dans la musique, je ne citerai que Mozart, dont « La Flûte enchantée » - ce n’est quasiment plus un secret pour personne -, regorge littéralement de symboles et d’allusions au Saint-Graal.
Dans les légendes célèbres comme celles du « Roi Arthur » ou « Notre-Dame de Paris », etc. Des contes comme « Cendrillon », nous dit Dan Brown, « La Belle au bois dormant » ou « Blanche-Neige », sont autant d’allégories du Féminin sacré emprisonné.

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>> Vos commentaires [5]

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